« Cette auteure, toujours d’une grande originalité, sait traiter un sujet grave avec tendresse, humour et sensibilité. Elle sait aussi aller droit au but quand il le faut. Les personnages qu’elle met en scène, l’entourage d’Hugo et le personnel de l’hôpital sont crédibles et nuancés. Son astuce, qui paraît exagérée au départ, devient un coup de génie. L’idée d’inventer ce jeu qui sert de trame narrative a vraiment l’effet désiré. On veut y croire et, tout comme pour le jeune Hugo, il sert d’exutoire aux sentiments intenses qui surgissent à tout moment et menacent de nous submerger. Enfin, l’incursion dans le monde de la peinture enrichit le récit et donne le goût d’approfondir cet univers, »
Renée Leblanc – Revue Lurelu, printemps, été 2015.